Contact
Adhésion
Espace pro
Contact

Et voilà !              Envies de musiques en vie

brand-logo Accueil
  • Spectacles
  • Festival
  • Les concerts
  • Nos artistes
  • Vidéos
  • Les chorales
brand-logo Accueil
  • Spectacles
  • Festival
  • Les concerts
  • Nos artistes
  • Vidéos
  • Les chorales

05 Syrinx, la musique des livres

 La pièce pour flûte seule de Claude Debussy, enregistrée au milieu des livres de la médiathèque de Romainville pendant la pendémie en 2021. à la flûte Emmanuelle Cala.

 

Voici le poème, extrait de Psyché, de Gabriel Mourey, qui a inspiré Claude Debussy:

 

    Mais voici que Pan de sa flûte recommence à jouer…

    Il semble que la Nuit ait dénoué

    Sa ceinture et qu'en écartant ses voiles

    Elle ait laissé, pour se jouer,

    Sur la terre tomber toutes les étoiles…

    Oh ! comme, dans les champs solennels du silence,

    Mélodieusement elles s'épanouissent !

    Si tu savais…

    Tais-toi, contiens ta joie, écoute.

    Si tu savais quel étrange délire

    M'enlace, me pénètre toute !

    Si tu savais... je ne puis pas te dire

    Ce que j'éprouve. La douceur

    Voluptueuse éparse en cette nuit m'affole…

    Danser, oui je voudrais, comme tes sœurs,

    Danser… frapper de mes pieds nus le sol

    En cadence et, comme elles, sans effort,

    Avec d'harmonieuses poses,

    Éperdument livrer mon corps

    À la force ondoyante et rythmique des choses !

    Celle-ci ressemble, au bord des calmes eaux

    Où elle se reflète, à un grand oiseau

    Impatient de la lumière…

    Et cette autre tout près qui, lascive, sans feinte,

    Se roule sur ce lit de rouges hyacinthes…

    Par la chair d'elles toutes coule un feu divin

    Et de l'amour de Pan toutes sont embrasées…

    Et moi, la même ardeur s'insinue en mes veines ;

    Ô Pan, les sons de ta syrinx, ainsi qu'un vin

    Trop odorant et trop doux, m'ont grisée ;

    Ô Pan, je n'ai plus peur de toi, je t'appartiens ! …

Le bateau Ivre

06 Scarlatti en Touraine K141

Et voici le 6ème podcast Et voilà ! Le grand maître de musique Domenico Scarlatti, émigré italien au service de la reine d'Espagne mélomane Maria Barbara, pour qui il a écrit pas moins de 555 sonates. Il fait partie de la cuvée 1685, cousin d'âge Johann Sebastian Bach et de Georg Friedrich Haendel,. Chacun a développé un style unique (cf le podcast nº1 https://youtu.be/DxLiuqwpyvU) dans le goût et la manière de vivre de leurs pays respectifs.

Si l'enregistrement a été fait par DOm Paulin sur un piano très moderne : le fameux Phoenix de Adele H, le cadre est le jardin d'un petit châtelet de Touraine, accompagné du chant des oiseaux en profitant du soleil (et du vent !) d'avril.

Pour les abonnés Patreon (https://www.patreon.com/etvoila), paraît aussi aujourd'hui le podcast nº7, le prélude en sol# mineur op.32 nº12 de Sergueï Rachmaninov, enregistré sur un magnifique Bösendorfer 200…

03 Impromptu des vaches

L'impromptu de Germaine Tailleferre, joué pour un troupeau de vaches très intéressée, dans un champ à Boujailles (25).

DOm Paulin sur piano Phoenix

 04 Romance Schumann Nicht Schnell

Le premier mouvement de la romance op. 94 de Robert Schumann. Originellement pour hautbois et piano, ici jouée à la flûte. Enregistrement dans la très belle salle des mariages de la mairie du 18e à Paris.

Flûte traversière : Emmanuelle Cala

Piano : DOm Paulin

01 : Bach sous la neige

Le premier Podcast de ce qui s'annonce comme une grande série.

Nous commençons avec un compositeur phare de la musique classique : Jean-Sébastien Bach, enregistré avec les premières neiges de l'hiver 2020 dans l'église de Boujailles, petit village du Doubs. Joignant le XVIIème siècle au XIXème siècle, ces œuvres sont interprétées sur un piano numérique nouvelle génération, le piano Phoenix, conçu par une entreprise lyonnaise Adèle H Music.

02 : Les compositeurs se lâchent (Satie, Poulenc, Apollinaire…)

Quand les compositeurs décident de s'amuser ça peut aller très loin. Si on a l'habitude avec Érik Satie et ses commentaires anachroniques sur les partitions (ceux de la vidéos sont les authentiques indications à l'interprète) , Francis Poulenc ne nous avait pas habitué à celà quand il s'amuse sur des poèmes d'Apollinaire.